" Patrick Procktor avait-il seulement existé ? N'était-il pas plutôt un pseudonyme de David Hockney, une construction ? [...] Les ressemblances entre certaines oeuvres des deux artistes étaient si extraordinaires, au niveau de l'inspiration, de la mise en scène du modèle, de la technique, des matériaux employés comme du choix des couleurs, que s'ouvrait sous nos pieds un possible mystère tel que l'histoire de la peinture sait parfois en engendrer. "Patrick Procktor fut l'ami inséparable, le complice, le rival (sinon l'égal) de David Hockney. Dans le
Swinging London des années 1960, ceux qu'on surnommait les " jumeaux dandys du monde de l'art " semblaient tous deux promis à une brillante carrière. Mais lorsque Hockney s'envola pour la Californie, où il s'appliqua à fixer en peinture sa vision pop et ensoleillée du rêve américain, Procktor, lui, préféra cultiver une fragilité, un classicisme à contre-courant de toutes les modes... Hockney devint la star de l'art contemporain, " le peintre vivant le plus cher du monde ", tandis que Procktor disparut en 2003, alcoolique, fauché et quasiment oublié. Pourtant, à leurs débuts, les deux hommes et leurs oeuvres avaient été si proches qu'une question ne pouvait manquer de se poser : " De Procktor ou de Hockney, qui avait été le précurseur de l'autre ? "
" Un merveilleux aquarelliste des sentiments, un portraitiste tendre et cruel [...], loser magnifique, comète des sixties et des seventies, balayé par le vent du destin. " -
Le Monde
Sonia Delaunay s'est longtemps effacée derrière l'oeuvre de son mari Robert qu'elle vénérait. Mais qui est-elle vraiment ? Moderne, exigeante et visionnaire, du couple Delaunay, la vraie créatrice, c'est elle. Seule femme peintre parmi l'avant-garde du XXe siècle naissant, Sonia souffre toutefois d'une réputation de « touche à tout ». Avec ses tissus imprimés, ses meubles, ses objets, ses vêtements, elle fait vivre sa famille, mais surtout crée l'art d'embellir le quotidien. Généreuse, elle se lie d'amitié avec les artistes majeurs de son époque - Apollinaire, Cendrars, Tzara, Diaghilev, Kandinsky... - qui s'invitent à sa table et avec lesquels elle collabore dans une camaraderie joyeuse et inventive.
Sophie Chauveau raconte avec passion le destin d'une artiste exceptionnelle, une vie magnifique, bousculée par deux guerres et toutes les révolutions picturales du XXe siècle. De l'Ukraine des shtetls au Saint-Pétersbourg des tsars, en passant par Berlin, Paris ou l'Espagne, voici le destin de celle qui ne vécut, jusqu'à 94 ans, que pour son art.
Mêlant récit romanesque et enquête historique, chaque auteur raconte l'histoire d'un tableau célèbre.
Peintre de
La Famille de Charles IV et
graveur des Désastres de la guerre, homme d'affaires âpre au gain ou romantique hanté par le néant, libéral réformiste ou opportuniste prudent, artiste engagé ou fantasque, patriote espagnol né en Aragon ou universaliste des Lumières mort exilé en France, qui fut vraiment Goya ? Pourquoi le
Tres de mayo, qui est aujourd'hui le tableau le plus célèbre du peintre et même peut-être du musée du Prado, a-t-il été méprisé lors de sa création en 1814 puis oublié pendant plus de quarante ans ? Comment ce tableau historique, qui évoque l'écrasement de l'insurrection espagnole en 1808, est-il devenu, à l'instar du
Guernica de Picasso, l'accusation absolue de la guerre ?
La vie et l'œuvre de Goya sont une énigme ; et ce sont des réponses que Mariano Goya est venu chercher, un matin de juin 1869, au cœur du cimetière des Chartreux de Bordeaux, face à la tombe de son illustre grand-père. Sous la dalle, au milieu des os, un journal intime attend de faire entendre enfin la voix d'outre-tombe.
Mêlant récit romanesque et enquête, chaque auteur raconte l'histoire d'un tableau célèbre.
Alors que le duc d'Albe, bras armé de Philippe II d'Espagne, fait régner la terreur en Flandre, Pieter Bruegel l'Ancien peint l'un de ses derniers tableaux, Le repas de noces, dans lequel il met toute la sympathie qu'il porte aux paysans et à leurs simples joies. Mais ce tableau représente aussi un défi au pouvoir royal et à l'Inquisition, hostiles à l'esprit de liberté qui anime les fêtes populaires, et les taches rouges qui le ponctuent pourraient bien être l'expression de la violence des temps. Le roman nous fait entrer dans l'intimité de Bruegel pendant la composition de son tableau, tout en donnant la parole à dix témoins de sa vie et de son œuvre (proches, mécènes, artistes...), éclairant sous différents angles sa personnalité exceptionnelle, mais mal connue.
Face à Giacometti, et aux côtés de l'artiste, Jacques Dupin le fut souvent, qui lui rendit visite chaque semaine pendant treize ans. De cette amitié sont issus des textes, ici réunis pour la première fois, qui accompagnent et prolongent l'oeuvre.
Portraits d'un artiste au travail par un poète dont l'écriture éprouve la même exigence, les mêmes tourments, le même surgissement d'une présence séparée.
Quelle est cette main inconnue et surpuissante qui attrape Enki Bilal au beau milieu de la nuit et le projette sur un lit de camp ?
Quel est ce lieu mystérieux et hanté dans lequel il a atterri ?
Qui sont ces créatures, minotaure, cheval ou humains déformés, que l'artiste rencontre en essayant de trouver son chemin dans ce labyrinthe sombre et inquiétant ?
Que lui veulent-elles ? Et dans quel état sortira-t-il de cette incroyable nuit ?
Dans une déambulation hallucinée, Enki Bilal croise tant les personnages de Picasso, ses muses, ses modèles, que le grand maître lui-même et Goya, son idole. Son errance dans les couloirs du Musée Picasso prend la forme d'une rêverie éveillée qui nous fait toucher du doigt l'oeuvre du peintre espagnol d'une façon sensorielle et envoûtante, pour aboutir en épiphanie à la présentation de Guernica, la grande toile du maître.
Texte intégral révisé suivi d'une biographie d'Antonin Artaud. C'est à l'occasion d'une exposition Van Gogh au Musée de l'Orangerie en janvier 1947, peu avant sa mort, qu'Antonin Artaud écrit ce texte. Il n'y a pas loin, il le sait et il veut qu'on en soit persuadé, de Vincent Van Gogh à Artaud le Mômo. Le ton est âpre, l'ironie mordante, le style jaculatoire. Ainsi, écrit-il, "on peut parler de la bonne santé mentale de Van Gogh qui, dans toute sa vie, ne s'est fait cuire qu'une main et n'a pas fait plus, pour le reste, que se trancher une fois l'oreille gauche, dans un monde où on mange chaque jour du vagin cuit à la sauce verte ou du sexe de nouveau-né flagellé et mis en rage, tel que cueilli à sa sortie du sexe maternel". Pour l'auteur du Théâtre de la Cruauté, Van Gogh "ne s'est pas suicidé dans un coup de folie, dans la transe de n'y pas parvenir, mais au contraire il venait d'y parvenir et de découvrir ce qu'il était et qui il était, lorsque la conscience générale de la société, pour le punir de s'être arraché à elle, le suicida. Et cela se passa avec Van Gogh comme cela se passe toujours d'habitude, à l'occasion d'une partouse, d'une messe, d'une absoute, ou de tel autre rite de consécration, de possession, de succubation ou d'incubation."
Mêlant récit romanesque et enquête, chaque auteur raconte l'histoire d'un tableau célèbre
Quand une toile prend la parole et raconte le processus de création de l'un des plus grands peintres contemporains.
Comment Gérard Garouste, cérébral, inventif et mystérieux, parvient-il à représenter un grand sujet de la mythologie grecque: la rencontre dramatique de Diane et Actéon ? Depuis l'atelier où le maître multiplie les esquisses jusqu'au mur du musée de la Chasse et de la Nature où elle est désormais exposée, la toile nous fait partager ses inquiétudes, ses tribulations, ses surprises et finalement sa fierté.
L'auteur plonge dans l'univers d'un artiste qui, malgré son immense succès doute toujours de lui-même, et nous raconte ici le tableau d'un fou de peinture.
Tous les trucs et astuces du mangaka de One-Punch Man pour apprendre à dessiner !Saitou, éditeur au
Weekly Shonen Jump, décide de devenir mangaka afin d'être rapidement riche et célèbre... mais il ne sait pas dessiner ! Le voilà qui s'en va frapper à la porte de Yusuke Murata afin que ce dernier lui apprenne (sous la contrainte) les ficelles du métier !
Une histoire bourrée d'humour, d'anecdotes, et de précieux conseils de l'auteur !
La méthode indispensable des apprentis mangaka !
Un guide étape par étape pour bien débuter sur la voie du manga.
De nombreux conseils pratiques et ludiques pour concevoir vos personnages et vous améliorer en dessin.
Des recommandations distillées pas les plus grands mangakas : Mitsutoshi Shimabukuro (
Toriko), Mizuki Kawashita (
Ichigo 100%) et Yoshihiro Togashi (
Hunter x Hunter) !
« Il n'est que dix heures du matin. Il dégoupille le muselet de métal et fait sauter le bouchon. Le rire quasi continu de Bacon, sa bonne humeur tranchent avec le désespoir que dégagent ses tableaux. Je saisis qu'il y a un sens aigu du tragique en lui, mêlé au comique, comme chez Shakespeare, un autre de ses auteurs de chevet. Est-il ce Dr Jekyll et Mr Hyde ? »
Mêlant récit romanesque et enquête historique, un auteur raconte l'histoire d'un tableau célèbre.
Lorsqu'il peint La Mort de la Vierge en 1606, Caravage est déjà un artiste célèbre à Rome. Mais son tableau déclenche un énorme scandale. Les religieux du couvent qui le lui ont commandé refusent de l'accrocher dans leur église : en lieu et place d'une Vierge montant au ciel dans la gloire de l'Assomption, le peintre a représenté le cadavre d'une femme. Et le modèle qu'il a pris est le corps d'une prostituée retrouvée noyée dans le Tibre...
Caravage, alors âgé de trente-six ans, est à un tournant de sa vie. Les circonstances vont l'entraîner dans un maelström qui fera de ses quatre dernières années une véritable descente aux enfers.
Le portrait dit des Époux Arnolfini a été peint par Jan Van Eyck en 1434 : énigmatique, étrangement beau, sans précédent ni équivalent dans l'histoire de la peinture... Cet ouvrage offre un voyage au coeur de ce tableau, qui aimante par sa composition souveraine et suscite l'admiration par sa facture. Touche après touche, l'auteur décrypte les leurres et symboles semés par l'artiste sur sa toile, à l'image d'un roman policier à énigmes. Alors le tableau prend corps, son histoire se tisse de manière évidente et les personnages qui nous regardent dans cette scène immuable prennent vie devant nous...
Mêlant récit romanesque et enquête historique, l'auteur raconte l'histoire d'un tableau célèbre.
Il était impensable de sculpter ce bloc, ce monstre de pierre haut de cinq mètres, refusé par tous les sculpteurs approchés, quand Michel-Ange en 1501, à 26 ans, se lance avec passion dans ce chantier fou, rugueux et violent.
Il raconte ici à son assistant Ascanio Condivi la naissance tumultueuse d'une œuvre hors norme, célébrée par ses contemporains comme " le Géant ". Parce qu'ils y voient une allégorie de la République de Florence alliant le courage et l'intelligence face à la force aveugle de ses ennemis.
" Goliath ne m'intéresse pas, David non plus ! Tout a déjà été dit. C'est le courage de David, ses doutes, sa peur et sa tension qui me touchent et me questionnent. Je vais le représenter avant ! Avant le combat. On comprendra, à sa façon de regarder et de bander ses muscles, que le Philistin est sa cible. Je veux que le mouvement soit perceptible. Rien de pire qu'une figure inanimée. Sans mouvement, elle est deux fois morte. Mon David sera beau par son corps et son âme pure. Je veux le sculpter à l'instant où il s'apprête à s'élancer vers Goliath, quand tout le monde s'enfuit. "
Rien n'échappe au regard acéré de Johan De Moor. À travers ses dessins de presse, il compose un panorama lucide du monde actuel sans craindre d'en souligner les absurdités et injustices. Des techniques picturales variées et mixtes renforcent l'impact de ses créations inventives et percutantes. Quelques planches réalisées avec Gilles Dal pour la revue Pandora complètent l'ouvrage et montrent la variété de la production de cet étonnant artiste contemporain.
Lautrec, c'est la légende de Montmartre, le peintre du Moulin-Rouge, du Mirliton, celui qui immortalise Bruant, la Goulue, Jane Avril. Mais c'est aussi un petit homme foutraque, issu d'une famille de la haute noblesse de province, atteint d'une maladie génétique qui fragilise ses os et interrompt sa croissance. Fasciné par les cabarets, les bals, les bistrots, les théâtres et les prostituées, il peindra des hommes et des femmes toute sa vie, négligeant le paysage et la nature morte. Alcoolique, rongé par la syphilis, il meurt à trente-six ans en laissant une oeuvre foisonnante et inclassable.
En mettant en scène l'obsession de Henri de Toulouse-Lautrec pour la peinture, celle qui montre les êtres humains dans ce qu'ils ont de plus brut et de plus vivant, Matthieu Mégevand s'éloigne des représentations habituelles pour dresser le portrait de l'artiste en voyant et de l'homme en possédé.
Lorsque Paul Signac démarre son journal, en 1894, il est installé à Saint-Tropez, ce petit village qu'il a véritablement découvert deux ans auparavant, à la suite de la mort de Georges Seurat, fondateur du néo-impressionnisme (pointillisme) dont il veut poursuivre l'héritage. Alors qu'il est lui-même à un « tournant » de sa carrière, et que l'art qu'il défend est peu considéré, la France subit une vague d'attentats anarchistes. Signac, lui-même anarchiste (mais non violent) et proche de certains des accusés du « procès des Trente », est ainsi amené à parler presque autant de politique que de peinture. Il en sera ainsi tout au long de son journal, au cours duquel nous voyons se succéder les crises que traverse la IIIe république encore jeune, en particulier l'Affaire Dreyfus, en toile de fond des combats intellectuels et picturaux de Signac. Le peintre qui a été tenté par la carrière d'écrivain dans sa jeunesse, ne mâche ni ses mots ni sa pensée, même lorsqu'il réfléchit histoire de l'art et peinture, ses propos demeurent accessibles au grand public, qui découvre au fil des pages un homme aussi sportif qu'intellectuel, maniant la barre de son bateau aussi bien que son pinceau et sa plume.
Giacometti est l'exemple type de l'artiste aux prises avec les difficultés de la création.
À la fois dessinateur, peintre et sculpteur, il a édifié l'essentiel de son oeuvre au cours des vingt dernières années de son existence.
Bien que tragique, sa vision de l'homme n'a rien de désespérée. Ses portraits aux regards effarés et qui interrogent, ses sculptures filiformes expriment certes notre solitude, la douleur d'être, la précarité de notre condition, mais ils affirment aussi avec autorité que la vie est finalement plus forte que tout ce qui la ronge et cherche à l'abattre.
300 planches pour aborder le dessin du corps humain sous l'angle de la morphologie
morpho, pour une approche artistique et synthétique du dessin du corps...
De l'écorché au croquis de modèle vivant, Michel Lauricella propose différentes représentations du dessin du corps humain.
En 1 000 dessins, il donne à voir le corps humain sous des angles inédits, de l'ossature à la musculature, du détail anatomique au corps en mouvement. Un carnet dessiné foisonnant et fascinant, à emporter partout avec soi.
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Grâce à ce bestseller mondial, apprenez à dessiner en exploitant votre hémisphère droit !
Que vous pensiez n'avoir guère de talent, que vous soyez un artiste professionnel ou que le dessin soit pour vous un simple hobby, ce livre vous fera prendre confiance en vos capacités et approfondira votre perception artistique, de même qu'il vous encouragera à développer une nouvelle appréhension du monde qui vous entoure.
Dans cet ouvrage de référence, Betty Edwards vous offre la clé pour maîtriser l'art du dessin en vous faisant découvrir les cinq compétences fondamentales de cet art : la perception des contours, des espaces, des relations, de la lumière et des ombres, et du tout (gestalt).
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CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
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Cet ouvrage innovant et emblématique devrait figurer parmi les lectures obligatoires de tous les étudiants en art. - American Artist
À PROPOS DE L'AUTEUR
Betty Edwards est enseignante, conférencière et praticienne de la formation en entreprise. Aujourd'hui à la retraite, elle a exercé comme professeure d'art à l'Université d'État de Californie à Long Beach, après avoir obtenu son doctorat en art, éducation et psychologie de la perception à l'UCLA (Université de Californie, Los Angeles).
Vous adorez les mangas ? Vous avez envie d'aller plus loin et d'en dessiner ? Grâce à cette méthode, faites prendre forme à vos personnages et à vos propres histoires ! Du dessin de personnages à la composition de cases en passant par le story-board : toutes les étapes et astuces qui vous aideront à devenir un vrai mangaka. Le tout, guidé par des petits personnages pleins d'humour qui ne vous laisseront jamais tomber !
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À PROPOS DE L'AUTEURE
Betty Edwards est une enseignante et conférencière renommée, docteure en art, éducation et psychologie de la perception. Après avoir exercé comme professeure d'art à l'Université d'État de Californie à Long Beach, elle est aujourd'hui à la retraite mais anime encore régulièrement des conférences et des formations au sein des universités, des écoles d'art et des entreprises.
La plupart du temps, quand un peintre choisit de traiter un sujet philosophique, il peint un texte. Un texte ou une phrase de ce texte, un moment de ce texte, voire un mot. Comme il est difficile de peindre une idée, il lui faut peindre un clin d'oeil qui dira cette idée à laquelle se résume la totalité de la pensée du philosophe : ce clin d'oeil est un détail, or le diable est dans les détails. Ce qu'il faut voir dans une peinture que je dirai philosophique, c'est le détail qui résume cette philosophie. Pour Anaxagore, c'est une lampe à huile, des légumes pour Pythagore, une cruche pour Socrate et Xanthippe, des larmes pour Héraclite, un rire pour Démocrite, une coupe pour Socrate, une lanterne pour Diogène, une caverne pour Platon, un crocodile pour Aristote, une lancette pour Sénèque, un pain pour Marc-Aurèle, une coquille pour Augustin, ceci pour rester dans les limites de la philosophie antique.
De Pythagore à Derrida, via Descartes et Kant, Montaigne et Rousseau, Voltaire et Nietzsche parmi d'autres, en trente-quatre toiles, donc en trente-quatre philosophes, Michel Onfray propose une histoire de la philosophie par la peinture !
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